Une toxicité très inférieure identifiée par les chercheurs pour la cigarette électronique

Depuis l’apparition de cet appareil sur le marché, les études ne cessent de se multiplier, car les scientifiques cherchent à connaitre le degré de toxicité de ce produit. La réalité serait donc intéressante au vu des résultats partagés.

Les poumons ne seraient pas entachés par cette e-cigarette

Pour l’instant, les scientifiques connaissent les effets actuels de la vapeur sur l’organisme. Ils sont donc en mesure d’insister sur le fait que la cigarette électronique n’est pas aussi nocive pour votre santé, mais une prise de recul est tout de même à envisager, car les enquêtes ne se projettent pas dans le futur. Les experts de ce secteur ont besoin d’effectuer d’autres expérimentations notamment pour savoir si un véritable danger serait au rendez-vous sur le long terme, mais le risque semble être faible. Généralement, lorsque l’on évoque le tabac classique, il n’est pas surprenant de cibler immédiatement les poumons.

Un degré de nocivité moins important que celui identifié pour le tabac

Ils sont donc au cœur des attentions notamment pour cette e-cigarette qui est considérée comme une aide au sevrage tabagique. Au niveau de votre santé, elle serait moins toxique puisque la vapeur ne peut pas entacher vos poumons. Si la cigarette traditionnelle est pointée du doigt à cause du développement des cancers dédiés à ces organes, ce ne serait pas le cas avec cet appareil qui a pris une ampleur significative en Novembre avec le mois sans tabac qui semble avoir suscité un intérêt de taille en France. Nombreux sont ceux qui ont décidé de stopper cette addiction notamment en s’aidant de cette e-cigarette. Les chercheurs de la British American Tobacco ont choisi d’enquêter sur les conséquences du vapotage sur les poumons.

Une machine à fumer pour étudier la cytotoxicité

En se focalisant sur des conditions réalistes d’utilisation, ils sont en mesure de préciser que la toxicité n’est pas autant au rendez-vous pour ces organes. Les tests ont même été effectués avec des doses très élevées, mais le résultat est identique. Les scientifiques n’ont pas demandé à des cobayes d’enchaîner les consommations, ils ont fait preuve d’ingéniosité en ayant recours à une machine à fumer. Cette dernière a été paramétrée en conséquence pour que les statistiques soient proches de la réalité.

Avec la cigarette électronique, la vapeur n’a pas entraîné la mort de certaines cellules. Toutefois, pour constater une cytotoxicité, les chercheurs ont été contraints de compenser la consommation d’une journée d’une e-cigarette sur une seule heure.